Nous nous étions quittés à 6, nous revoilà 5 à ce rendez-vous. Deux, nous ont quittés et merci à René de nous rejoindre. Ainsi va le G6, fort de ses individualités, mais surtout par son besoin existentiel fort de faire vivre un espace de création en dehors des balises habituelles.
Le G6 grandit, par, l’exigence individuelle de contribuer à la réussite de nos expositions. Nous produisons le meilleur de nous-même en étant conscients de nos limites artistiques, techniques, créatives. La photographie, univers vaste, riche, provocant, consensuel, rend compte de l’état du monde, des âmes, des cœurs…pour nous c’est avant tout une porte ouverte sur les rencontres.
Après « La forêt », « L’homme dans la ville », « N10 », le G6 souhaite vous faire découvrir nos regards sur « Travail ».
Le G6 choisit collectivement le thème, puis par touches successives, par échanges sur nos pistes, par nos premières photos prometteuses ou pas, nos projets se construisent. Les choix artistiques, les points de vue sur l’approche du sujet sont personnels et respectés. Le G6 fonctionne sans hiérarchie et s’en porte bien. Merci.
Une exposition de cette envergure, suppose une envie forte et continue de traiter et d’illustrer le thème. Une exposition de cette envergure suppose un engagement de chacun d’entre nous, à la réussite de cet événement,…et notre mesure de satisfaction sera votre présence, vos encouragements, mais aussi, bien sûr votre admiration avouée de nos photos (je blague).
Belles rencontres,
Pour le G6 Michel Béguin,
le 16 décembre 2015